NIGERIAN INSTITUTE OF TRANSLATORS & INTERPRETERS (NITI)
  • Home
  • History
  • Congress
  • Membership
  • NoticeBoard
  • Contact

Welcome, RUBY UDEH, to the NITI Exam Hall
Please identify yourself and do a translation of the two texts below.
You have a maximum of 90 MINUTES beginning from now. Good luck.


SOURCE TEXT 1 - English-French

Despite the challenges bedevilling Nigeria’s automotive sector, some assemblers have expressed interest to invest in the production of electric vehicles (EVs) in the country.Experience has shown that Nigeria usually turned out to be a dumping ground for a variety of banned products. Given its preference for used vehicles over brand new ones due to very poor purchasing power of the masses, it stands at a higher risk of dumping when other countries eventually phased out the use of conventional fuel cars.
Electric vehicles are a novel and eco-friendly technology designed to reduce man’s dependence on fossil fuel, and potentially a threat to the conventional fuel car market. Top auto assemblers like Volvo, a Swedish vehicle manufacturer, has committed to fitting every car it produced by 2019 with electric or hybrid engines, just as Germany’s BMW plans to mass-produce EVs by 2020, offering 12 models by 2025.
A recent report published by the World Economic Forum, entitled “Electric vehicles for smarter cities: The future of energy and mobility,” also indicated that French multinational automaker, Renault, plans to produce 20 electrified models by 2022, while Germany-based, Volkswagen, will invest up to $84 billion in battery and EV technology to electrify all 300 of its models by 2030.
These transitional commitments to electric vehicles by manufacturers are not sufficient threats to the fossil fuel market, but a very imminent one to Nigeria, which relies heavily on foreign exchange earnings from oil.
Global strategies
Another report by the International Energy Agency (IEA), revealed that the sale of electric cars may rise by 24 per cent yearly till 2030. The Agency estimated that based on existing policies; there would be 125 million electric vehicles on the road, which could further rise to 220 million if strategies became more ambitious to meet global climate goals and other sustainability targets.
Of the one billion cars in the world, only two million are electric. But that will soon change, as costs diminish, and governments encourage the adoption of EVs to cut carbon emissions and fight urban pollution.Sequel to this, some cities across the world have set target year to ban the use of fossil fuel cars to mitigate the effect of gaseous emissions from them.
 

    Translate Texts 1 and 2 into this same box. After Text 1, give a few spaces and continue with Text 2.

    You can translate directly into this box or you can copy the text and translate in MSWord, then copy and paste your translation into this box.
Submit

 SOURCE TEXT 2: French-English

La nouvelle ne laisse personne indifférent : Einstein aurait été xénophobe, voire raciste. En cause, des passages de ses mémoires de voyage en Asie, notamment en Chine, dans les années 1922-1923. Une première traduction en anglais de son journal était parue en 2012 au sein des œuvres complètes d’Einstein, mais n’avait pas atteint le grand public. En mai dernier, cependant, Ze’ev Rosenkranz, éditeur et directeur adjoint du Einstein Papers Project, en a publié une nouvelle traduction remarquée sous le titre The Travel Diaries of Albert Einstein, The Far East, Palestine, and Spain, 1922-1923.

De fait, plusieurs exemples de préjugés surgissent sous la plume d’Einstein. Cet humaniste, qui s’impliquera dans les luttes pour les droits civiques aux États-Unis, qualifie alors les Chinois de « sales et obtus ». « Même ceux qui sont réduits à travailler comme des chevaux ne donnent jamais l’impression d’une souffrance consciente », commente-t-il à leur propos. « Une étrange nation semblable à un troupeau [...] ressemblant souvent plus à des automates qu’à des gens. » D’après Ze’ev Rosenkranz, « les passages du journal d’Einstein sur l’origine biologique de l’infériorité intellectuelle présumée des Japonais, des Chinois et des Indiens ne sont pas du tout discrets et peuvent être considérés comme racistes […]. Le commentaire inquiétant selon lequel les Chinois peuvent “supplanter toutes les autres races” est aussi très révélateur à cet égard. »

Notons pourtant qu’à son retour à Hong Kong, début janvier 1923, il décrit les Chinois comme « le peuple le plus désolant de la terre, cruellement maltraité et mis au travail jusqu’à la mort en échange de sa modestie, sa délicatesse et sa frugalité ». Puis à Colombo, transporté en pousse-pousse, il écrit : « J’avais très honte de moi de participer ainsi à un si méprisable traitement d’êtres humains, mais je n’y pouvais rien faire. » Par ailleurs, lors de sa visite du mur des Lamentations, à la fin de son voyage, il décrit ses « ternes frères ethniques […]. Misérable vue d’un peuple avec un passé mais sans présent. » Si on interprétait ces passages comme les éléments à charge cités par Ze’ev Rosenkranz, on serait peut-être conduit à qualifier Einstein, juif et engagé dans la création de l’État d’Israël, d’antisémite, ce qu’il n’était pas.

Cette mise en perspective ne suffit cependant pas à dégager Einstein de sa responsabilité, car non seulement d’autres que lui montrent à la même époque plus d’ouverture d’esprit, mais Einstein lui-même s’engagera dans les luttes pour l’égalité entre Noirs et Blancs, et ce quelques années à peine après son voyage en Asie. Ainsi, en 1931, il soutiendra une campagne pour défendre les Scottsboro Boys, neuf adolescents d’Alabama faussement accusés de viol. Einstein verra très bien la similitude de traitement entre les Noirs aux États-Unis et les Juifs en Europe et ne pourra y être indifférent. Comment donc à la même époque Einstein pouvait-il présenter un tel contraste de pensée ?

Copyright © 2023-2028; nitinigeria.com.
​All rights reserved
  • Home
  • History
  • Congress
  • Membership
  • NoticeBoard
  • Contact